Différences qualitives du spectre discret au travers des systèmes Tœplitz

Fabien Durand
LAMFA, Amiens

Date(s) : 07/05/2024   iCal
11 h 00 min - 12 h 00 min

Dans un survol sur les systèmes Tœplitz de T. Downarowicz (2005), il est indiqué que si un système Toeplitz strictement ergodique est conjugué à son facteur équicontinue maximal alors il est régulier.

En 2015, Downarowicz-Kasjan ont donné un contre-example à cette proposition : il existe des systèmes minimaux conjugués en mesure à leur facteur équicontinu maximal par une application facteur qui n’est pas presque partout injective…

Un article de Downarowicz-Glasner en 2016 donne, d’une certaine façon, une explication à l’origine de cette erreur, en caractérisant différents type de spectres discrets possibles par le biais de la notion d’équicontinuité moyenne.

Cela a été précisé dans les articles García Ramos2017 et Garcia Ramos-Jager-Ye2021.

Dans cet exposé, nous verrons comment les différentes qualités de spectre discret caractérisées dans ces papiers se décrivent dans la famille des Tœplitz grâce à leurs structures S-adiques et la notion de coïncidence.

Emplacement
Site Sud, Luminy, Ancienne BU

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